Lisa Jane : Tu es à moi, une série d'urban fantasy pleine d'humour

Premier tome d'une série d'urban fantaisy, Tu es à moi nous entraine à la suite de Lex Kincaid, son héroïne, dans une aventure à perdre haleine qui mêle humour, action, amour et personnages fascinants et attachants, au sein d'un univers dans lequel on se laisse immerger avec plaisir.
 

Bonjour Lisa, parlez-nous de l’univers que vous avez créé dans votre livre.

Le monde de Lex est un monde d’à peine 2 milliards d’habitants agglutinés dans les villes et villages côtiers depuis que l’intérieur des terres a été scellé par des failles énergétiques. Sept clans différents y vivent sous la direction du Directum et protègent tous les humains de tout ce qui pourrait sortir des failles. Tout a été bouleversé, quelques années avant le début de notre histoire, lorsqu’un Chaman a choisi d’attaquer le Directum et tout ce qu’il représentait : Lucian Darksky. Pour le combattre a été créé l’Alliance Prophétique, mais un traitre s’y cachait. Depuis, une guerre des tranchées s’est développée et c’est dans ce contexte que l’aventure de Lex va prendre un virage inattendu.

J’ai beaucoup travaillé la construction de l’univers de Lex car je voulais que le lecteur puisse s’immerger avec plaisir et facilité dans cette société avec ses enjeux, sa mythologie, sa politique, son histoire.
 

Pouvez-vous résumer l’intigue ?

Lex Kincaid pensait pouvoir profiter de sa retraite forcée après s’être vue inapte à la seule chose qu’elle savait faire : être la Démoniste de l’Alliance Prophétique, groupe d’élite créé par le Directum pour lutter contre les Darksky. Pourtant rien ne l’avait préparé à ce qui allait arriver. En quelques jours, tout est parti en éclats : Kalia, sa voisine adorée, à vu sa tête mise à prix pour être devenue Prêtre de la Lumière spécialisée en soins de guerre, Ebène, un jeune Naturan revêche, mais qui cache un lourd secret, lui a été collé dans les pattes, et Syg, l’homme qu’elle aime depuis toujours, lui échappe lentement depuis sa mise à l’écart. Mais tout ça, Lex aurait pu le gérer sans le retour dans sa vie de Blake St James …
 

Quelle a été votre source d’inspiration ?

J’aime lire, j’aime les histoires qui me font rêver, qui me proposent une aventure qui me transporte et à laquelle, même après avoir fini le livre, je reviens dans mon lit juste avant de m’endormir. J’aime renoncer à dormir pour finir encore un chapitre de plus, encore une dernière page. C’est pourquoi cela m’a semblé naturel d’essayer de mettre sur le papier une histoire avec une héroïne que je voulais différente, plus ancrée dans le réel avec ses forces et ses faiblesses. J’espère avoir réussi et je continuerai dans mes prochains livres.
 

Comment avez-vous construit vos personnages et votre intrigue ?

Il a plusieurs aspects que je voulais aborder, d’abord je voulais que mon héroïne ait beaucoup d’humour, de répartie mais surtout de l’auto-dérision. Je voulais qu’on comprenne qu’elle allait faire de son mieux et que tout ne lui réussirait pas comme cela peut être le cas dans d’autre livres d’urban fantasy. Le deuxième aspect était l’intensité. Je voulais une histoire d’amour intense, puissante, possessive, où Blake serait le pilier principal.


 

À qui s’adresse votre livre ?

À tout le monde ! De 15 ans à 77 ans ! À tous ceux qui aiment l’urban fantasy et qui veulent une histoire à l’écriture fluide, qui vous emporte avec elle.
 

Pourquoi avez-vous choisi l’autoédition ?

J’ai préféré prendre les choses en main et maitriser du début à la fin la chaine de mise en ligne de mon livre. Je l’écris, réalise la mise en page, je créé la couverture et diffuse sur l’ensemble des sites via Iggybook. Je suis mon propre maitre ainsi et je m’adapte ainsi avec réactivité aux commentaires et demandes des lecteurs. J’aime énormément cette proximité avec ceux qui me suivent.
 

Quels conseils donneriez-vous à un auteur qui rêve d’écrire un livre mais n’a jamais osé se lancer ?

D’abord, je répète ce que je dis à chaque fois : écrivez. Écrivez votre roman, relisez-vous, corrigez-vous, puis recommencez encore et encore jusqu’à ce votre écrit devienne enfin ce que vous rêviez qu’il soit. Vérifiez bien la cohérence de votre histoire, construisez vos personnages secondaires, amplifiez votre ambiance, détaillez votre histoire. Le plus gros du travail est là. L’édition c’est la fin, la dernière ligne droite, n’y pensez pas avant d’avoir écrit le mot « fin ». Commencer un livre est facile, le finir est le plus difficile. Alors surtout ne lâchez rien !
 

Un livre à découvrir sur le site de l'auteure.


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